Depuis juin 2023, l’institut oncogynécologique des Vénètes (InOVe), sous la direction de la clinique privée Océane, à Vannes (Morbihan), assure le suivi de centaines de patientes atteintes de cancers. Luc Valentin, chirurgien gynécologue et président, revient sur le bilan de cette jeune association.
Luc Valentin, chirurgien gynécologue et président de l’institut oncogynécologique des Vénètes (InOVe), revient sur le bilan de l’association, après un an d’existence.
Après un an d’existence, quel est le bilan de l’association InOVe ?
Nous sommes contents de nos résultats, puisque sur l’année 2023, nous avons accueilli 135 patientes. Et jusqu’à aujourd’hui, 250 femmes ont bénéficié de nos parcours. Pour 88,73 % des patientes, le premier contact avec la coordinatrice de parcours s’est effectué au bon moment.
Quels sont les services proposés par l’association ?
Les services sont nombreux, grâce à notre équipe pluridisciplinaire de professionnels de santé spécialistes. Nous mettons à disposition une équipe de professionnels, qui apporte un suivi médical, psychologique et social. Nous avons aussi une coordinatrice de parcours, Marina Tempier, qui est disponible pour informer, soutenir et orienter les patientes. Depuis quatre mois, nous proposons également des séances d’activité sportive adaptée.
Quels sont les projets pour la suite ?
Le projet principal est de développer notre visibilité afin que le plus grand nombre de femmes soient au courant de notre existence. Nous souhaitons maintenant élargir notre champ de réflexion pour accompagner les patientes métastatiques, là où aujourd’hui nous accompagnons plutôt les femmes avec un cancer localisé. Et aussi étendre nos soins par des séances avec des sexologues ou des sophrologues. L’objectif pour nous est de penser à l’après, pour adapter l’accompagnement de nos patientes et qu’elles peuvent se rapprocher au mieux d’un quotidien normal.
Pour contacter l’association InOVe, rendez-vous sur leur site internet ou par tel. avec Marina Tempier, coordinatrice, au 06 59 95 29 00.
Pour en savoir plus sur les parcours sénologique ou gynécologique
Retrouvez l’article complet sur Ouest France
